Le 10 juin, a eu lieu la réunion du Comité RH à la Chambre de commerce et d’industrie franco-russe. Les participants ont parlé des soft skills et de l’automatisation du processus d’évaluation des compétences professionnelles des employés.

Dorian Chenivesse, Business Development Manager chez AssessFirst, a parlé des soft skills. Selon lui, de nombreux recruteurs constatent qu’aujourd’hui, une grande attention est accordée aux soft skills, notamment à la capacité d’apprentissage. En même temps, des problèmes se posent lors de l’identification de ces compétences lors du processus de recrutement : méconnaissance des soft skills, recherche des mêmes soft skills chez les candidats à des postes différents, utilisation de certains moyens seulement pour identifier, mesurer et évaluer les compétences flexibles. « Lors de la sélection d’un candidat et lors de l’embauche d’un employé, une approche analytique permet d’effectuer une meilleure sélection », a noté l’intervenant dans son discours. Selon Doriatn Chenivesse, pour embaucher les meilleurs, il faut standardiser le processus d’embauche.

Maria Gontcharova, conseillère d’ANCOR Consulting, responsable des projets d’évaluation du personnel, ANCOR, a parlé aux participants à la réunion de l’automatisation des processus d’évaluation des compétences professionnelles. Selon l’intervenante, les tests en tant qu’outil d’évaluation peuvent être utilisés pour résoudre des problèmes dans certains domaines. Pour des sujets plus importants, il convient d’impliquer des professionnels. « L’automatisation n’est pas toujours nécessaire, car elle a des limites et convient à une première analyse, mais pour les problèmes plus complexes, c’est une personne qui doit réaliser l’évaluation », a souligné Maria Gontcharova.

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